Via Ferrata – ce qu'il faut savoir

La via ferrata, c’est l’un de mes terrains de jeu préférés. Un mélange unique entre randonnée verticale, escalade accessible et immersion totale dans le décor. C’est une activité que je pratique régulièrement, que ce soit autour de Grenoble, dans les Alpes ou lors de mes roadtrips ailleurs en France et en Europe.

Pourquoi j’adore la via ferrata ?

C’est simple : tu prends de la hauteur, tu ressens de l’adrénaline, mais avec une sécurité maîtrisée.

Je ne suis pas un grimpeur pur et dur, mais j’aime les sensations. Et avec une bonne ligne de vie, des barreaux bien placés, des ponts de singe et parfois même des tyroliennes… on est en plein dans l’aventure verticale, sans forcément avoir besoin d’un gros niveau technique.

Ce que je vais partager ici :

• Mes spots préférés : j’ai déjà pas mal exploré les classiques autour de Grenoble (Saint-Christophe-en-Oisans, La Bastille, Le Grand Dièdre…), mais je compte aussi en tester en Haute-Savoie, en Italie, en Espagne, et plus loin encore.

• Des vidéos immersives en 360° avec ma Insta360 fixée au casque ou au harnais, pour te faire vivre la montée comme si t’y étais.

• Des plans aériens avec le drone quand c’est possible, pour montrer les falaises, les approches, les paysages de fou.

• Du contenu authentique : matos que j’utilise, erreurs à éviter, niveau requis, accès, parking, météo… je partage tout.

Matériel que j’utilise :

• Baudrier léger spécial via

• Longe de via ferrata avec absorbeur

• Casque

• Gants anti-glisse

• Chaussures de rando/approche

• Insta360 X4 sur perche ou fixation casque

• DJI Mini 3 Pro pour les plans larges quand le spot le permet

Ce que j’aime transmettre :

La via ferrata, c’est plus qu’un sport. C’est un moment de pause verticale dans un décor souvent spectaculaire. C’est aussi une super façon de faire le plein de sensations, même quand on est pas un pro de l’escalade. Et c’est carrément une source d’images incroyables pour créer du contenu outdoor à couper le souffle.

Comprendre les niveaux de difficulté en via ferrata

Quand on se lance dans la via ferrata, il est essentiel de bien connaître les niveaux de difficulté pour choisir un itinéraire adapté à son expérience, à sa forme physique… et à son envie de sensations !

Le classement des via ferrata :

En France (et dans pas mal d’autres pays d’Europe), les niveaux vont généralement de F (Facile) à ED (Extrêmement Difficile). Voici un petit récap simple :

• F – Facile

  Accessible aux débutants, aux familles ou à ceux qui veulent une balade verticale tranquille. Peu exposé, bien équipé, peu de dévers.

  Idéal pour s’initier.

• PD – Peu Difficile

  On monte en intensité. Quelques passages plus techniques ou plus hauts, mais rien de méchant.

  Parfait pour une première expérience sportive.

• AD – Assez Difficile

  Là, on commence à bien tirer sur les bras. Longueur plus importante, gaz (vide) plus présent, portions physiques.

  Recommandé si tu es en forme et que tu as déjà fait une ou deux vias.

• D – Difficile

  Beaucoup de vertical, parfois du surplomb. Exposition importante. Il faut une bonne condition physique et être à l’aise en hauteur.

  À éviter en cas de vertige.

• TD – Très Difficile

  Passages très athlétiques, parfois en surplomb, peu de repos, très exposé. Longe absorbante et bon grip indispensables.

  Pour pratiquants réguliers.

• ED – Extrêmement Difficile

  Là, on est dans le pur physique. Très technique, très engagé. Nécessite souvent des pauses sur longe, voire une corde en plus.

  Réservé aux experts.

Mon conseil : toujours commencer une cotation en dessous de ce que tu penses pouvoir faire, surtout si c’est la première fois que tu testes un secteur.

Et surtout… prends ton temps, profites du paysage, et sécurise chaque mouvement !